Rajout :
Chez ceux qui sont à l’origine de la criminalisation
de la dénonciation du massacre de masse des Gazaouis et pour lesquels il n’y a
pas de souci pour le sort cruel et injuste des Palestiniens - il n’y a que la haine du Juif -… force est de
soupçonner l’interrogation suivante : « Mais qu’est-ce c’est que ces gens qui
se soucient du sort d’infra-humains appelés Palestiniens ? Qu’est-ce que c’est
que ces Européens qui refusent de considérés ces trous du cul de Palestiniens
pour ce qu’ils sont : une quantité négligeable ? »
Le soutien que recueille Israël des Etats
occidentaux et le sort qui est fait aux Palestiniens l’attestent sans ambiguïté depuis
des décennies.
Il n’y a donc pas de cause palestinienne ;
qui plus est… de cause humaine ; il n’y a que de la haine du Juif ; et les
mêmes de poursuivre : « Il ne peut pas en être autrement ! Car enfin,
qui peut bien vouloir se soucier d’un Palestinien !!!! C’est grotesque !
».
Et c’est alors que tout est permis au nom de la lutte contre
l’antisémitisme : les convocations, les intimidations dans le cadre
professionnel (les enseignants des universités ; industrie du
divertissement ; cercles culturelles), les atteintes au droit de réunion
et de manifestation.
Ceux qui sont à l’origine de cette criminalisation et ceux qui l’accompagnent
sont maintenant tout nus. Et c’est sans surprise que l’on découvre chez les
uns, de l’opportunisme éhonté ainsi qu’une lâcheté sans nom (personnel des
médias, classe politique) et chez les autres…
des porte-parole d’une idéologie d’un anti-humanisme sans égal depuis la fin de
la seconde guerre mondiale : l’être humain… s’il n’est pas soumis, n’est
qu’un rebut d’humanité.
Sachons que nous sommes tous menacés.