Rien à voir mais je viens de comprendre pourquoi la comparaison avec les canidés est à mourir de rire de la part d’Ovidie : elle me rappelle à des mises en scène pornographiques auxquelles je suis sûr qu’Ovidie fait référence, mais en croyant pouvoir les généraliser à l’ensemble de la condition féminine qui certes lui est parfois comparable (comme je disais selon la culture, l’époque et la contrée d’une vie de femme et non de toutes, mais même la condition masculine est parfois comparable à celle des canidés) de sorte qu’avant tout Ovidie s’auto-soumet elle-même à cet imaginaire en guise de Surmoi (j’en parlais dans mes Considérations féminines en lien en en-tête) de sorte que son propos témoigne paradoxalement d’un plaisir inconscient à subir cette condition qu’elle généralise, ce qui rend évidemment impossible pour elle et ceux auprès de qui matche son propos de se sentir libre. Mais des femmes libres (et non « libérées » puisque ce qualificatif renvoie toujours au moment de la libération d’une serve condition et donc à ce servage lui-même)... des femmes libres j’en ai rencontrées plus d’une sous nos latitudes, alors qu’Ovidie fasse un travail sur elle-même. Une psychanalyse...