Commentaire de Jean Keim sur Eviter l'assassinat des personnels pénitentiaires ? Admettre une possible peine de mort

Commentaire de Jean Keim

sur Eviter l'assassinat des personnels pénitentiaires ? Admettre une possible peine de mort

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Jean Keim 17 mai 08:21

On condamnerait à la peine de mort, donc en fait en toute légalité on assassinerait également celui qui a commis un assassinat*, il y a là comme une antinomie et/ou le rétablissement de la loi du talion.

Sans vouloir tomber dans le doucereux, la communauté humaine fabrique tant bien que mal toutes sortes d’individus censés être adultes et matures, pour certains leur chemin de vie n’a pas mis en place des garde-fous, nous devons l’assumer.

Le rétablissement de la peine de mort, même sous la forme d’une épée de Damoclès, me semble inhumain, or c’est précisément cette inhumanité qui caractérise certains individus dangereux pour les autres, ils ne doivent pas pouvoir être remis en libertés.

(*) meurtre avec préméditation.

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