@Sirius
Merci pour
cette sagesse ancestrale, j’en connais qui, en attendant, peuvent dormir
tranquille -).
Laissons la plaisanterie de côté.
La dynamique du changement se nourrit d’un long
travail de prises de conscience, d’aller-retour entre l’expérience, le vécu, l’analyse,
d’essais et d’erreurs qui font avancer, de partages de points de vue où chacun
s’enrichit de l’autre pour construire de nouvelles pratiques et idées et mieux
comprendre et agir sur un monde toujours changeant. Pas à pas, au cas par cas avec
bien sûr une méthode, des principes, des objectifs des moyens à partager que l’on
confronte au réel que l’on affronte avec des pouvoirs bien précis et leurs
moyens et méthodes à combattre en se donnant les moyens qui nous sont
accessibles. Il y a des hauts et des bas qui dépendent pour une part importante
de nous. Avec lesquels de toute façon nous devons faire. Les pouvoirs que nous
combattons ne sont pas inertes et reposent sur des bases bien concrètes. Avec
une légitimité fondée ici sur le consentement mais à mon avis bien plus sur l’impuissance
et la résignation et une ignorance méthodiquement entretenue. Il n’y a pas de
recette magique du changement. C’est une volonté, un effort, un travail dont
bien des pratiques sont encore à découvrir et/ou inventer ou en gestation d’autant
plus que vouloir exercer un pouvoir ne
va pas sans la responsabilité et oblige
à avoir des résultats à la hauteur de ce que l’on cherche à faire. Pas de
démocratie sans