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Commentaire de Géronimo howakhan

sur Sidération institutionnelle : la Vie dissolue d'Emmanuel Macron


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Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 10 juin 09:23

Sur une échelle de 0 à 100, zéro étant l’origine du désastre humain dans notre cerveau, origine parfaitement inconnue de 99.99% ( juste un fait pas un jugement) 100 étant la surface de la superficialité, nous essayons de nager en zone 99 à 100..

il y a bien sur un et des pourquoi, mais ceci n’intéresse pas l’humain tel que nous sommes devenus à force de négation du fait de vivre.

un des pourquoi est que seul la partir qui gère l’immédiateté de la vie, le coté physique donc, est tout ce qu’il reste encore en marche..

nous abordons la vie par ce biais unique, la surface des choses..

qui a sa place, à la surface..

or ce que nous faisons vient en fait de nos propres profondeurs...que la pensée ne peut voir..

Quel dommage..mais ce serait respectable car ce serait un choix donc ça touche au sacré..quel sacré ? MOI....centre du monde, nous sommes genre 8 milliards de centres, tous en combat, pourquoi en combat ?

Ben, euh, je sais pas... !! ah si parce que l’oiseau mange le vers de terre..donc ce génie intergalactique que JE suis, ne sait pas comment vivre et va donc chercher chez certains animaux non herbivores uniquement des infos pour ce faire...

hum...

quelle connerie la guerre Barbara..

Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t’ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N’oublie pas
Un homme sous un porche s’abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t’es jetée dans ses bras
Rappelle-toi cela Barbara
Et ne m’en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j’aime
Même si je ne les ai vus qu’une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s’aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N’oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l’arsenal
Sur le bateau d’Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu’es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d’acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n’est plus pareil et tout est abîmé
C’est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n’est même plus l’orage
De fer d’acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l’eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.



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