C ’est l’art de vivre de la Macronie, vivre dans la zizanie, vivre
dans le capharnaüm, se repaître des trahisons....N’aduler que la
destruction, pourvu, qu’il puisse chanter sur le tas d’immondice,
toujours et encore amoncelé, comme fondation primordiale du genre.
Que faire d’un type pareil ?
Nocif, même quand il se prend une claque de dégagement dans le
museau, il qui annonce triomphant, qu’il discourras 3 x par semaine,
jusqu’aux élections, histoire de nous bourrer le mou . Ou jeter de
l’huile sur le feu ?
Pyromane, certainement, pompier.....Par amour exclusif du gyrophare, et des
vestiaires.
Le parfais individu, à qui on signifie la porte de sortie, mais qui
revient à la charge, tellement il est persuadé, et CON— vaincu, que
les gens ne comprennent pas, tout l’amour qu’il leur veut, pour leur
plus grand mal.
L’oeil du cyclone, est devenu aveugle de rage, tondu par ses moutons, qu’il ne peut plus QUE tâter .
Mais que dire des lâcher de barrages qui vont se succéder ?
Démontrant une fois de plus, l’interpénétration des intérêts, avant
les idéologies, qui fondent, en chamallow sur le feu de l’actualité ,
sans se soucier du souk que cela vas créer, et qui permettra à
l’anguille Macronneuse de se retrouver en terrain conquis, c’est à
dire : une eau saumâtre, d’un bordel boueux, si profond, si explosif,
qu’il pourrait acter la fin de ce pays, par un effondrement sur lui
même.
Chercher les responsables ?
Nous en avons eu UN, pendant 1 quinquennat et demi, toujours dans la
provocation outrancière, ou, les yeux arrachés...du coute que coute,
pour une guerre, dont nous étions désignés volontaires et sacrifiés
d’office.
Rien n’as été répondu, ou, aussitôt mâté par une violence imitatrice.
Avant lui, le cirque était déjà en tournée, et avait squaté le temps
de ce pays qui gerbait doucement dans les campagnes, et suçait les
glaçons bio, dans les villes...
Mais là, nous entrons dans quelque chose de phénoménal, qui tient du
« domino cascade ». C’est voulu, pensé, réalisé par haine, envers le
peuple, pour qu’en définitive, il NOUS fasse Suppuku, avec une lame
insérée, par insistance haineuse violente !