Une petite dernière qui pique fort
–La dissolution a été faite sous supervision du « parrain américain » et de BlackRock, affirme Guy de la Fortelle
Larry Fink était à Paris juste avant le projet de dissolution de Macron, a repéré l’économiste sur le plateau de Tocsin (https://t.co/i8K35Pk4c8).
Le patron de BlackRock (10.500 milliards d’actifs) était effectivement à Paris, où il a laissé au moins une trace, une interview (https://www.lefigaro.fr/conjoncture/exces-de-normes-petrole-ia-entretien-exclusif-avec-larry-fink-le-patron-de-blackrock-premier-fonds-d-investissement-au-monde-20240607) au Figaro.
A nouveau, on est dans la situation où les États-Unis veulent tirer de grandes liquidités de l’Europe en la mettant sous coupe réglée allemande.
Le 6 juin 2017, un mois après l’« élection » de Macron, Larry Fink a été reçu (https://www.marianne.net/economie/mais-pourquoi-blackrock-est-il-aussi-puissant-en-macronie)en toute discrétion à l’Elysée et à Matignon.
En juillet 2019, Fink est encore dans les salons de l’Elysée avec des représentants de fonds d’investissement pour « lutter contre le changement climatique ».
… et reçoit la Légion d’honneur en 2020.
▶️« Si demain BlackRock revend la dette française, on est cuits » : Guy de la Fortelle explique le piège de Macron (https://t.me/kompromatmedia_2/354)