Le « s » à un million d’euros, répété, est un gage, de colère contenue, de lucidité exprimée, , j’adore ! Ce texte est magnifique.
Mais, parce que sans « mais » on n’est pas libre, je dirais que Bardella a le charisme d’une moule et dans mon vocabulaire l’homonyme de Attal et d’autres petits cons du macronistan. À éviter, attention danger.
Madame Irma, que je connais bien et qui a un faible pour moi de temps en temps, m’a glissé que seront en lice, Mélenchon et Macron. Contrairement à toute attente... glissée dans notre inconscient par les médias.
Devant mon étonnement, elle m’a rappelé l’évidence du « oui » en 2005, et aussi que ce renversement n’est pas à coup sûr un gain définitif... personnellement, j’ai beau ne pas avoir aimé la Fi au cours de ces derniers évènements qui nous ont quand même secoués, je « sais » que Jean-Luc Mélenchon mêle la droiture, la compétence des hommes politiques de naguère ( contraire aux autres péteux ) à l’ouverture d’esprit et, surtout, la non dépendance au pouvoir oligarchique de notre pauvre monde.
Hélas, hélas, il est visiblement attiré par le woke, la tour de Babel et autres foutaises que personnellement je crains.
Il faut comprendre que l’occident pervers et déclinant se défend comme il peut, et que Mélenchon fait partie de cet occident, à son corps défendant. Ce n’est pas une excuse, c’est juste qu’on ne peut pas être partout et voir de partout à la fois.
Madame Irma a été formelle, le front populaire sans majuscule pour ne pas injurier le vrai ( parce que Glucskman dans le font populaire et les autres verts ou roses, ça indigne, ) va gagner et c’est une victoire vis à vis de toute l’entourloupe menée depuis Mitterrand se servant de l’extrême-droite comme chiffon rouge ( extrême-droite qui soit dit en passant s’amuse de son rôle comme une folle, n’ayant aucune crainte, n"espérant pas le pouvoir faute d’idées d’idéal, jouissant d’une impunité sans borne... le bonheur parfait, sans responsabilité, bonne rémunération... etc.)
Je suppose que cette extrême-droite n’a pas la combativité nécessaire parce qu’elle n’a pas de but, nécessaire.
On verra bien.
En tout cas merci à l’auteur dont la muse nous émerveille.