–Crowdstrike, l’entreprise de cybersécurité liée au parti démocrate… et à l’Ukraine
Responsable du crash informatique mondial (https://t.me/kompromatmedia_2/1018), l’entreprise était arrivée sur le devant de la scène en 2016, embauchée par le parti démocrate pour faire porter aux Russes la responsabilité de la fuite de ses données par Wikileaks.
Un bobard bien pratique qui visait principalement deux objectifs :
• Qu’on ne parle plus du contenus des mails eux-mêmes, qui ont, entre autre, fini par donner naissance au Pizzagate (https://t.me/kompromatmedia/4086).
• Faire oublier le rôle clé de Seth Rich, petite main du parti démocrate mort assassiné en pleine rue (https://francais.rt.com/international/24965-julian-assange-sous-entend-quhillary), dont Julian Assange a lourdement laissé entendre (postmortem) qu’il était sa source.
Et qui permettra en bonus de faire le lit des accusations infondées de collusion russe entre Moscou et Donald Trump.
En 2019, le président républicain avait, lors d’un échange téléphonique, interrogé (https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/09/26/trump-a-parle-de-crowdstrike-et-d-un-serveur-au-president-ukrainien-pour-des-raisons-encore-floues_6013144_4408996.html) Zelensky sur Crowdstrike, accusant l’entreprise d’avoir caché le serveur du DNC en Ukraine pour que le FBI ne mette pas la main dessus.
Un appel qui, incidemment, sera au cœur de la procédure de destitution le visant, l’Etat profond prouvant qu’il est le maître incontesté de l’inversion accusatoire.