@leypanou
Il
existe plusieurs types d’immigrations.
En
voici deux
(on
met de côté la fameuse « immigration choisie », qui
existera toujours, mais très minoritaire) :
-
Celle
suscitée par une demande de main d’œuvre payée à coups de pied
est la plus importante, et majoritairement composée de sans
papiers.
-
Celle
de gens qui fuient des conditions de vie précaires, « les
réfugiés », est
pour le moment moins nombreuse, mais devrait rapidement devenir un
tsunami inarrêtable : aucune
barrière efficace n’est possible.
Point
commun actuel : majoritairement des gens « de couleur ».
Les
réflexes ataviques contre « les bougnoules » sont très prégnants :
il faut d’abord s’en débarrasser.
Parmi
eux, ceux qui refusent d’abandonner des pratiques que notre pays ne
peut pas accepter doivent être refoulés efficacement (je ne vois
pas comment, mais des gens plus intelligents le peuvent ?).
Les
autres doivent passer par un sas d’intégration où ils s’engagent
à respecter tous les principes de laïcité qui font ce pays.
Le
respect de ces principes doit être constamment vérifié, et
sanctionné en cas de manquement (je ne vois pas comment, mais des
gens plus intelligents le peuvent ?).
Il
nous manque certainement une description exhaustive des pratiques
inacceptables, qui n’ont rien à voir avec les stupides sujets de
l’abaya ou du burkini.
Naturellement,
les crimes et délits qui se poursuivent parmi toute la population
doivent obtenir une réaction rapide d’un système judiciaire bien
plus puissant.
Serait
ce du rêve ?
La
concentration de la criminalité parmi les plus précaires est
logique, mais cela n’a pas d’autre cause que la précarité, et
ne permet pas de les diaboliser.
Ouf
...
Cela
paraît impossible, n’est ce pas ?
Une
chose est cependant certaine : les immigrations ne sont pas
nécessairement indésirables, et l’enrichissement des pays
accueillants est établi et devrait être reconnu.