Bonjour Olivier.

Et bravo pour ces représentation à l’ humour au combien décapant, et expression imagée, d’une réalité pitoyable.

Nous assistons, là, à une métamorphose totalement négative, et destructrice de l’esprit des jeux ! ( si on pouvait se permettre de trouver, et faire, pire)

Nous voyons à quel degré, cet évènement séculaire, prend l’hâ-bit de la perversité absolue, faisant correspondance à...la personnalité d’un type névrosé, qui expose aux yeux du monde, sa tragique maladie mentale, et en fait, l’expression ultime d’un laisser passer, pour admission, en asile psychiatrique.

On ne peut plus parler de Jeux Olympiques, car même le symbole de cette instance, est passé par la destructuration des anneaux entremêlés, cette universalité des continents, est devenu le symbole criant de l’in-continence Macronide, et ne représente plus que, des stérilets de stérilisation des Libertés.

Ce type, est en train de se payer SES jeux, en se coiffant d’une couronne de faux lauriers usurpés. Expropriant son propre peuple, de son propre territoire.

Le fractionnant à coup de grilles, à coup de QR code, au faciès, au pognon, à l’humeur des mercenaires, et aux directives de l’Olympe, plus que jamais, électrisé par la nique à la plèbe, et le décorum à l’endettement hallucinant.

Les athlètes dans tout ça... ?.

Même si au départ, je voulais les considérer comme innocents, de par leur passion, et dévotion, à leur sport....Le cadre actuel, comme il est échafaudé, et présent, avec ses relents méphitiques d’usurpation de l’esprit des jeux, les placent de facto, dans la position peu honorable, qui est celle, dévolue à la simple l’exhibition,

Acceptant de fait, de se pavaner, dans leur monde qu’ils veulent neutre, le leur, mais qui n’est existant que par la malversation absolue, de ceux qui les ont invités, et couillonnés, depuis les lits en cartons bouilli, à la remise des médailles, en or-dur, avec une face pour leur victoire, l’autre , pour le champion du foutage de gueule, à l’effigie frappée, de Moumoute1er !

Bien à vous Olivier.