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Commentaire de SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

sur Ouverture des Jeux olympiques 2024 : Paris tenu !


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Parler de liberté à l’ère du QR code et du contrôle social, de la censure et de la cyber surveillance de masse, c’est ridicule et hors sujet.

Tout se concentre autour de l’individu et de sa biologie, pas pour l’émanciper dans une société libre, mais pour l’enfermer dans une célébration onaniste du moi, aveugle aux enjeux du siècle.

Le contrôle par le spectacle et par la question sexuelle, est un idéal de dépolitisation efficace. Une fois gagné le combat de la « fierté », il n’y aura plus de combats politiques.

Plus de questions sur la guerre perpétuelle, plus de questions sur l’oppression soft des milliardaires sur les cerveaux par le biais de relais de propagande efficaces appelés « médias ».

Le bonheur d’être soumis à une société totalitaire ou plutôt « englobante » qui encourage l’expression corporelle libre et la critique de surface.

Au fond, que ce soit le foot, l’Olympisme, ou l’industrie culturelle, c’est l’argent qui choisit le spectacle offert aux masses (parfois avec leurs impôts).

Le message de cette cérémonie était clair : diversité, fierté, inclusion, ouverture, c’est ça dire l’open society de la fondation Soros adaptée à la sauce française, mis en scène par des artistes de gauche.

C’est la pensée dominante parce que l’argent a choisit de promouvoir cette idéologie à coup de grand spectacle et de symboles. Et quand le spectacle ne suffit plus, la censure de toute opinion divergente prend la suite.

D’abord par le procès en « réaction », puis la foule, largement rincée par la propagande, décide de marginaliser toute pensée dissidente, avant de choisir volontairement sa servitude.

Face au spectacle, rares sont les intellectuels critiques qui continuent le travail ingrat d’analyse et de lutte culturelle.

Oui, il est souhaitable que notre société soit une société où chacun soit libre de vivre sa sexualité, sa vie, sa foi, comme il l’entend, sans violences, sans haine.

Mais ça ne suffit pas pour parler de liberté. Or, l’angle mort de cette vision globalisante, c’est la lutte des classes. Un déni évident du fait des financiers milliardaires promoteurs de cette idéologie de la liberté limitée au nombril numéroté.

LVMH, Coca, Soros, Macron, Nike ou Disney : ce sont les mêmes limites qui sont posées et non négociables.

Et non, je ne me réjouis pas du monde qui pourrait advenir par cette seule propagande.

La vraie transgression n’a pas de financements publics, ni de mécènes richissimes.

Le spectacle était conforme au cahier des charges, il y en avait pour tout le monde ou presque et le sentiment de liberté était largement présent.

Mais c’était conforme.

La conformité est devenue l’objectif des gouvernements, c’est l’idée de présenter un parti unique, de gouvernement, raisonnable, comme seule alternative politique.

Elle devient la loi unique poussée par l’ingénierie sociale.

Soyez conformes, vous verrez, le sentiment de liberté est immense, mais l’enferment est total.

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