@rosemar
D’où sortez vous cette interprétation sans queue ni tête d’une supposée valeur des consonne ?
On y trouve cela : « Les sifflantes « s, z »sont des phonèmes pleins de douceur et d’harmonie »
Ca tombe mal, Racine a écrit : « ... Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes... » une allitération en s dont on cherche en vain la « douceur et l’harmonie ». 
La phonétique n’a rien à avoir avec ce genre d’interprétation subjective et les sensations que donnent les sons viennent de la manière dont il sont dits, des résonateurs mis en oeuvre (poitrine, masque), de leur accentuation ou non, de la puissance de la voix, etc...
Quand vous citez les nasalisés, vous oubliez « un ».
Mais il faut reconnaître qu’hors de cela, ce serait en vain qu’on chercherait quelque chose à dire sur ce texte gentiment simplet.
Par contre vous auriez pu disserter sur la date de composition de l’oeuvrette et sur le motif réel de ce genre d’écrit idyllique, partant des raisons de son succès...