@SilentArrow. Oui, du gascon, avec un zeste de basque.
@L’apostilleur. Je suis sûr que vous trouverez un moyen de l’entendre, ne soyez pas irrespectueux à ce point-là.
Allez, je suis d’humeur serviable — donc à cette heure, voici les versions des différents commentaires :
@Confiture. Une question étrange/interloquante, pour que d’aucuns viennent étaler leur... confiture !
@Laconique. Le conquérant célèbre, avec son œil d’aigle, avait tout vu - tout venu - tout vaincu !... Mais le fait est qu’avec les guerres puniques, les Romains avaient coupé les Ibères nord-pyrénéens des Ibères sud-pyrénéens. La frontière pyrénéenne était tracée, César n’eut qu’à enregistrer que les Aquitains étaient plus proches des Ibères que des Gaulois, avant de baptiser la région « Gaule aquitaine », comme ses prédécesseurs l’avaient déjà fait à l’Est pendant les guerres puniques, avec la « Gaule narbonnaise ».
@Et hop !. Que le diable les emporte !... Mais ils sont diaboliques, et Dieu laisse faire comme à son habitude depuis Job...
Nous devons appeler les Anciens Dieux.
@L’apostilleur. Je n’y avais pas pensé, sûrement, il y a toujours des profiteurs. J’en profite donc pour signaler le bon travail de Michel Onfray et de sa revue Front Populaire à ce niveau, et je tiens à préciser au-delà que la notion de totalitaire n’est pas claire même en historiologie, mais qu’elle est ici employée pour dire : tendant à une totalisation exponentielle quoiqu’exhaustivement impossible. Ainsi, le projet totalitaire nuit à la réalité, par son espèce de métaréalisme.
@SilentArrow. Je ne pense pas que ce soit bien l’idée.