@alinea
C’est un fonctionnement réseau, entre chefs d’états connivents qui avancent le dessein mondialiste de l’oligarchie avant « rupture de stock » des ressources naturelles de la planète (contrôle des individus, argent numérique, vol de tous les actifs de l’Etat et des économies nationales pour les refiler à l’oligarchie, etc...). Avec la complication que la Maison Blanche tient au monde unipolaire à sa convenance.
Macron est un zélateur parmi ses compradores chefs d’Etats, Pavel Dourov est un trophée qu’il apporte aux nécessités de la mondialisation.
Telegram court-circuite la circulation des infos, et de ce qu’on doit penser, la Doxa, qui doit être l’apanage du mainstream mondialiste et de ses factechéqueurs qui font la police. Et dans les zones en tension ou en conflit, Telegram est un moyen de communication direct pour les belligérants. En Ukraine, par exemple la capture des Ukrainiens envoyés à la boucherie terminale, à Gaza et tous les massacres et, ce qui concerne plus Macron : les trois pays de l’AES (Niger, Mali, Burkina Faso) qui démontrent qu’on peut vivre souverainement sans les Français en Afrique.
A voir les Emirats Arabes Unis pas contents du tout. Dourov a voulu en effet créer le siège de sa société en Allemagne, En France, aux Etats-Unis et il n’y est pas arrivé sans devoir fournir une porte dérobée numérique pour que les autorités du pays accèdent aux contenus. Dubaï, oui, a accepté la liberté des échanges depuis son pays, (on en est là en terme de liberté d’expression...). Sur twitter (c’est là que je trouve encore des infos « libres »), on évoque l’énorme contrat signé avec les EAU de vente de 80 rafales qui serait mis en suspens. Le cheik Hamdam Al Maktoum, ministre de la défense des EAU, super pote à Pavel Dourov, est en colère.
LCI commence à pourrir Macron avec son kidnapping : si ça ne tient pas du côté du mainstream, c’est peut-être en effet un poisson un peut trop gros pour lui qu’il a capturé. A suivre. Mais ce n’est pas la France, ni les Français, qui pourront y faire quoi que ce soit, malheureusement.