Cela fait maintenant quelques décennies que la France voit son
déclin économique s’aggraver. Industrie en fuite, agriculture en
perdition, fracassée par les règles imposées du mondialisme, la
France ne vit plus que par le sursis offert par son opulence passée.
Le pays est comme un navire au moteur en panne qui n’avance plus que
sur son erre, de plus en plus lentement jusqu’à son arrêt total,
balancé par les flots du mondialisme.
Il n’y a pas qu’au
niveau économique que le pays plonge. Il assiste aussi à
l’effondrement de sa culture artistique, littéraire, musicale.
Qu’est-ce que la France de ce début de siècle laissera à la
postérité ? L’art « comptant pour rien », avec un plug
anal sur la place Vendôme en guise de symbole ? Quel monument
contemporain fera la fierté de la France pour les générations à
venir ? Les tuyaux du musée Beaubourg ? Les colonnes
Buren ?
Et enfin, la France
assiste à la dégringolade de la transmission de son savoir
ancestral avec une Education Nationale en perdition, véritable usine
à analphabètes et à crétins.
Le tout dans une
renonciation assumée, voire encouragée par ses politiques, à son
identité dans une invasion migratoire ininterrompue.
Cet affligeant constat
n’est jamais que la triste apothéose d’un déclin largement entamé
depuis quelques décennies. Il est aussi la conclusion éloquente du
quinquennat et demi présidentiel.
Tout le monde a
quelques clichés stéréotypés en tête quand on évoque le déclin
de la Rome Antique : invasion par des hordes de barbares et
scènes orgiaques chez les élites romaines.
Mais l’Histoire
retiendra que l’invasion de la France par des barbares africains,
menant à son effondrement, ne s’est pas faite par les armes. Elle
n’est pas due à une défaite militaire mais est la conséquence de
la seule collaboration active de traîtres : traîtres
politiques assurant l’ouverture des frontières et le financement de
l’installation de ses envahisseurs, légaux ou illégaux, ONG
traîtresses participant objectivement à leur venue sous le
fallacieux prétexte de raisons humanitaires, Justice traîtresse
affichant sans complexe sa préférence pour l’envahisseur aux dépens
de l’autochtone.
Et pour faire le
pendant aux scènes orgiaques de la Rome sombrant dans la décadence,
l’Histoire pourra illustrer la chute de la France avec ces cérémonies
des JO de Paris 2024 où les déglingos se sont vautrés
complaisamment à la vue de milliards de téléspectateurs médusés :
hommes se faisant passer pour des femmes, femmes se faisant passer
pour des hommes, et ce, jusque dans les épreuves olympiques
elles-mêmes, où un Algérien a pu apporter une médaille d’or –
enfin !- à son pays en battant des femmes sur un ring de boxe. Qui
aurait pu imaginer il y a une vingtaine d’années seulement, que le
féminisme, ce combat idéologique que portait l’Occident comme un
étendard, allait se faire cocufier aux yeux du monde entier, de
façon aussi spectaculaire ?
Si la foire aux
déglingos est effectivement terminée, le processus de désagrégation
politique, lui, va se poursuivre, s’intensifier dans les semaines,
les mois à venir. La grenade dégoupillée qu’a voulu lancer, par
dépit, Macreux suite à sa double raclée électorale, est en train
de lui exploser au visage. La destitution, ou même simplement la
menace d’une destitution, pourrait bien être une nouvelle étape.
Reste à savoir si cette étape sera une accélération ou un coup de
frein à la décadence du pays. Cette seconde hypothèse ne peut être
envisagée qu’avec une overdose d’optimisme.