Ce
topo ne peut pas intéresser
Qu’ils
aillent lire ce qui leur plaît, et ne s’imposent pas davantage de
souffrance.
L’avenir
se fera sans eux.
Postulats
L’humanité
pré historique ne fonctionnait pas sur un mode d’avidité, mais
d’utilité.
La
glorification de l’avidité, largement approuvée, n’est qu’une
déformation morale, qui veut imposer, à une sous caste innombrable
de perdants, qu’ils n’ont pas de chance ni de talent.
La
coopération désintéressée entre humains est infiniment plus
efficace et productive que l’accumulation insensée des fortunes du
nombre minuscule des ploutocrates, dont chacun peut savoir la
nocivité extraordinaire sur le niveau de vie et la survie de
l’immense majorité des plus pauvres de cette planète.
Le contexte
Une
déformation de notre civilisation a sans doute commencé avant
l’apparition de l’agriculture.
Il
serait passionnant de pouvoir en décrypter les circonstances, et
peut être de mettre en évidence les origines de l’apparition de
castes et de hiérarchies.
Et
par là même de préciser des causes objectives, fantasmées à tort
comme nécessaires, que notre naïveté obstinée suppose
modifiables.
Il
est bien possible que le passage de l’animisme, logiquement inséré
dans tout l’environnement, à toutes sortes de religions
aliénantes, qui en éloigne les croyants, en soit, au moins,
contemporain.
Par
exemple.
Auparavant,
on trouvait par exemple des preuves de chasse et de cueillette non
genrées, avec des états de squelettes équivalents entre femmes et
hommes.
Les
traces paléontologiques ont démontré une subite baisse du statut
des femmes, devenues moins bien nourries, ce qui est très révélateur
d’un changement de leur statut.
Et
maintenant ?
Le
comportement des « décideurs » dans les conseils
d’administration ne peut plus se cacher derrière de prétendues
réalités économiques.
Le
parallèle avec celui des dirigeants mafieux est éclatant :
aucune préoccupation morale.
Pétrochimie,
big pharma, distribution, agriculture industrielle, industries
matérielles ou logicielles de toutes sortes, …, exploitent un
système de confiscation du bien commun, vicieusement programmé pour
installer des monopoles et des ententes.
Des
faits.
-
La
propagande hostile à toute mention d’un dérèglement climatique
est dorénavant dévoilée chez les pétrochimistes, très bien
informés des réalités depuis au moins 50 ans.
-
Racheter
toute innovation, provenant de la recherche publique, pour imposer
des tarifs exorbitants est une pratique devenue
habituelle de big
pharma, qui n’a
vraiment plus besoin d’investir dans la recherche.
-
Imposer
aux consommateurs la disparition de toute offre concurrente, pour
pouvoir dominer tous les rapports de force avec les fournisseurs,
est une constante de la distribution, avec ses alliances
internationales de centrales d’achat : « on vous fait
une proposition que vous ne pouvez pas refuser » ...
-
Un
refus de travailler sur des sols vivants entraîne toutes les
dérives de l’agro industrie, et la non qualité, évidente et
démontrée, de
l’alimentation produite.
-
Les
subventions honteuses de l’ue pour les cargos
de découpes de poulet congelé bas
de gamme, exportés en
afrique, ont directement tué les élevages locaux vivriers de
succulents « poulets
de brousse », et accéléré l’émigration de ceux qui ont
perdu tout espoir de
vivre bien dans leur pays.
-
Ça
suffit.
A suivre :
L’avidité,
moteur actuel indépassable ?