(services are unilable : chiant, faut tout recommencer)
@SilentArrow
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Aucune différence qualitative, juste une différence quantitative.
Evidemment.
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Aristote a dit : L’homme est différent de l’animal en ce qu’il est plus apte à l’imitation.
Je ne retrouve pas la vidéo, de la pieuvre chassée par un poisson qui se transforme en poisson-pierre, y compris le relief « rocheux » de sa peau. Le prédateur a arrêté instantanément sa chasse.
Les pieuvres ont un réseau neuronal étendu dans toutes les tentacules : huit cerveau exploratoires en concertation, alors qu’on n’en a qu’un... Raison pour laquelle elles trouvent rapidement à dévisser le couvercle pour manger sans le bocal. Elles arrivent même à parcourir rapidement un labyrinthe à différents pièges qu’un humain aurait difficulté à faire : https://www.youtube.com/watch?v=7__r4FVj-EI
Les humains ont l’avantage de la bipédie, pour transporter des proies et des provisions avec les mains pour aussi fabriquer, ce que les autres animaux ne peuvent pas faire. Mais cela a créé un dilemme : la tête en casque de vélo pour les quadrupèdes horizontaux a agrandi l’encéphale pour finir l’équilibre vertical, tandis que le bassin s’est rétréci et renforcé pour tenir toute la partie supérieure du corps. Les bébés passent plus difficilement le bassin pour naître. Le cerveau n’est pas fini afin de passer le bassin, contrairement aux autres mammifères. Un mammifère naissant va tout de suite au téton, ramper, voir se mettre debout sur pattes si elles sont grandes. Le bébé a juste de la pâte à modeler pour ne rien comprendre du brouillard dans lequel il est jeté. C’est à lui d’apprendre, en commençant pas la mimesis à l’égard de ses parents qui ont l’air d’organiser l’univers dont il ne comprend que pouic. A terme cela lui donne une capacité d’apprendre plus vaste que les autres animaux freinés par leur déterminisme, leur première programmation.