Commentaire de Germain de Colandon
sur Luc-Olivier d'Algange, l'auteur solitaire solidaire
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@L’Auteur « Luc-Olivier d’Algange semble préférer les plateaux montagneux où planent les aigles royaux, aux plateaux de télévision ! », écrivez-vous.
P’têt ben que les plateaux de télévision, pour faire de l’audience, sont volontairement surchargés d’écrivaillons, de pseudo-prosateurs à la mode, de bien-pensants, ou autres imposteurs, dévolus au décervelage des masses — grâce aux impôts des Français, quand c’est le service public qui joue les maquereaux...
P’têt ben que Luc-Olivier d’Algange est bien au-dessus (plateaux montagneux oblige !) de la médiocrité des germanopratins nombrilistes (pléonasme !), au garde-à-vous devant leurs maîtres, dans l’attente, dans l’espoir, de lécher, lâcher, lyncher, telle ou telle proie...
Pour autant, il y a maintenant d’autres moyens, pour le meilleur comme pour le pire, de se faire re-connaître par ses contemporains.
France-Culture en 2001 :
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23/09 18:02 - Germain de Colandon
@L’Auteur « Luc-Olivier d’Algange semble préférer les plateaux montagneux où (...)
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