Avec son suffixe, le nationaliste devrait être celui qui aime sa nation, un quasi pléonasme tant cela devrait être normal.
Ceux qui ont vibré aux exploits de nos représentants aux JO portés par un idéal où l’honneur de leur drapeau bleu blanc rouge et leur hymne national étaient des nationalistes. Rien à voir avec ceux en adoration devant un PSG multinational et ses mercenaires apatrides asservis par leur compte bancaire.
L’idée de Nation est une émanation de l’honneur qui ne s’achète pas.
Comme souvent le sens des mots est détourné de celui des origines par leurs opposants pour caricaturer une idéologie. Les politique n’osent plus en parler, la France était une Nation depuis la Révolution, cette idée d’appartenance supposait des valeurs admises par le peuple sans exceptions.
Que devient la Nation dans un pays aux origines romaines chrétiennes et grecques, dont une partie communautarisée prétend que les lois de ses charias sont au-dessus de celles de la République ?