Dans une décision sans précédent, un tribunal militaire grec a acquitté le docteur Panagiotis Karanagnostis. Le médecin avait refusé de prendre et d’administrer le « vaccin » contre le Covid-19 et en dénonçait les risques. La décision crée un précédent important.
La décision du tribunal militaire d’Athènes a fait des vagues dans les médias sociaux, mais a été pratiquement complètement passée sous silence par les « médias dominants » : Panagiotis Karanagnostis, un ancien médecin militaire qui avait été suspendu en 2021 pour avoir refusé de se faire vacciner, a été acquitté à l’unanimité. Ce jugement a une valeur symbolique qui va bien au-delà du cas individuel et qui fait jurisprudence
« Cette décision représente une humiliation pour les tribunaux civils, qui avaient auparavant reconnu à la quasi-unanimité la légitimité constitutionnelle de la vaccination obligatoire », a déclaré l’avocat de Karanagnostis, Ioannis Zographos.
« Alors que les tribunaux civils étaient convaincus de la constitutionnalité des vaccins, le tribunal militaire a désormais créé une jurisprudence sans précédent qui redonne espoir aux autres personnes concernées. »
Par cette décision, le tribunal militaire a reconnu - selon les critiques - que ces injections d’ARNm pouvaient potentiellement causer des dommages. Le médecin a fait valoir que la vaccination, telle que promue par le gouvernement, exposait des personnes jeunes et en bonne santé à un risque inutile - et que les personnes vaccinées non seulement tombaient tout autant malades, mais pouvaient également propager le virus plus facilement, car elles se sentaient faussement en sécurité en étant « vaccinées » et ne limitaient donc pas leurs contacts sociaux.