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Commentaire de Vincent Delaury

sur À Chelles, « La fin du banal », avec le peintre français Thomas Lévy-Lasne : expo-rétrospective + entretien inédit


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Vincent Delaury Vincent Delaury 28 octobre 16:02

@Seth « C’est pas moi que le dis : VD : Toi, qui fais une peinture hyperréaliste, sensible aux moindres détails, très léchée ». Pas faux ! Mais, dans un autre passage, je mets, et pardonnez-moi, par avance, de me citer : « (…) non seulement pour sa peinture à tendance hyperréaliste, ou plutôt super-naturaliste (il cherche moins à imiter la photo qu’à traduire, poil par poil, brin après brin (qu’il aime s’abandonner dans chaque brin d’herbe peint), le rendu infini des matières, des apparences)… » smiley Mais, après tout, à chacun(e) de « lire » cette peinture, très réaliste (il est possible qu’on s’accorde au moins là-dessus !), comme on veut. Et si elle parvient à résister à l’étiquetage, ce qu’il me semble, alors c’est plutôt bon signe.


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