Voilà une chronique qui met à nue le totalitarisme décomplexé.
« Or, pour que l’état de droit prévale il faut qu’une volonté politique existe pour le respecter et le faire respecter, ce qui est loin d’être le cas, aujourd’hui. En effet, abolir la décision exprimée par referendum par le peuple pour imposer une disposition totalement contraire est-ce respecter l’état de droit ? Assurément, non » !
Il me semble que depuis une trentaine d’années au moins le peuple n’est qu’un faire valoir. Ni consultation, ni prise en compte de ses appétences primaires. Il convient nonobstant de relever que ce dernier n’a plus la verve qui le caractérisait comme il était dans les années 80 et 90. La faute sans doute aucun à l’apparition des réseaux sociaux et internet, il s’est emparé de ces supports pour vociférer, gindre, ses doléances, et autres griefs ressentis à l’endroit des dirigeants. Bref, le peuple s’est aplati tout bonnement , se laissant guider comme un troupeau de cheptels sans réaction, sans personnalité. Il serait temps de rectifier le tir !!!