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Commentaire de Octave Lebel

sur Sandrine Rousseau et le féminisme à géométrie variable


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Octave Lebel Octave Lebel 6 novembre 10:00

Continuez Sandrine et ne lâchez rien.

 

Un peu terne quand même, en manque de vitamines, surfant sur les facilités habituelles.Vous êtes bien entendu attendus pour surenchérir et vous défouler si vous aimez le genre.

Quelques bonnes adresses à fréquenter si vous voulez vous perfectionner dans le style et les méthodes : Europe1, C8, CNEWS pour les plus représentatives (Maison Bolloré, grande expérience, a soutenu Sarkozy puis Macron et maintenant qui vous savez en se foutant de qui vous savez aussi, c.a.d de nous-mêmes, de la démocratie et du cahier des charges d’une chaîne d’info par-dessus le marché) .C’est d’ailleurs pour cela que la dernière protégée a promis à son sponsor de privatiser encore plus l’info et les médias. Il y a des gens qui savent où sont leurs intérêts.

Sinon, Sandrine Rousseau, professeur d’Université, aisément piégeable il y a un temps pour des journalistes sans scrupule s’est visiblement formée à remettre à leur place cette engeance qui se vend au plus offrant. Il y a déjà eu de belles séances réjouissantes de fessées médiatiques. Continuez Sandrine et ne lâchez rien sur votre rigueur intellectuelle et votre savoir au point que ces gens n’ont que des déclarations tronquées à produire dans leurs grotesques numéros de clowns de la caricature. Ces gens en ont peur. À raison. Une pensée attristée pour ceux qui se font mener par le bout du nez par ce genre de commères de comptoir qui rêvent de nous amener à leur niveau afin d’assurer la tranquillité aux oligarques dont les médias et la presse de caniveau ( l’usage ostentatoire du subjonctif et de la cravate ne change rien à l’affaire) les inspirent et dont ils sont les larbins intéressés.

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