@Soucougnan
Même si on a pas mal de désaccords de fond, j’aime bien vous lire car vous avez parfois un mode de pensée qui m’échappe complètement et ça me rend curieux de comprendre.
Cette crainte que vous avez de la disparition des femmes (XX) est présente aux Etats-Unis où dans les épreuves sportives, même inter-écoles, des hommes ou garçons transgenres (ou qui se déclarent femmes) ont accès aux épreuves féminines et par conséquent aux médailles, puisqu’ils sont plus forts. Et je crois comprendre que ces hommes modifiés (anatomiquement, biologiquement ou mentalement, peu importe ici), qui prennent la place du sexe féminin est un débat public qui immerge tout le pays.
Mais ce n’est pas le cas en France : il y a bien une intrusion wokiste imposée depuis le haut, mais les débats n’intéressent que les milieux LGBT et antifa. J’ignore ce que l’avenir nous réserve, mais la France est un pays latin, pas protestant.
C’est pour ça que je vous ai posé la question mi-figue mi-raisin, si vous habitez les Etats-Unis, même si je ne vous impose pas de répondre, on n’est pas au commissariat de police.
Mais ce que j’en vois avec les infos d’Internet, est que l’arrivée de Trump (peu importe l’opinion qu’on a ici de lui) annonce un reflux de cette tendance wokiste et de son école de pensée déconstructionniste dans le pays. Sans doute même que le parti démocrate aura de la peine à se remettre de ses outrances idéologiques. C’est aussi un mouvement naturel, là-bas, de passer d’un extrême à l’autre.
Je ne veux pas être trop long ici, mais il y a des indices qui montrent que l’idéologie déconstructionniste est un forçage sociétal qui vient de l’élite mondiale pour ses besoins, mais pas de la propension des peuples dans leurs pays.
J’ajoute que, est-ce mon côté latin, ou européen, je l’ignore, j’aime vraiment trop le féminin pour admettre qu’on le vandalise (au delà des tendances transsexuelles qui ont toujours perduré de façon insignifiante dans les sociétés humaines). C’est même pour cela que Jung disait que les hommes sont faits d’un anima de tout le féminin dont ils ont besoin qui anime leur existence et les femmes d’un animus, l’inverse. Idem dans le Pacifique où le féminin est encore de l’ordre du sacré, même si les violences conjugales existent aussi, la différence de force physique entre les hommes et les femmes a toujours été une complication.
Enfin, c’est l’une des raisons pour laquelle j’abhorre l’islam, qui considère théologiquement les femmes en sous-espèce. Si cela me confronte à ses adeptes en terme de distribution raciale, la race n’est pas la raison première (je vis maintenant essentiellement parmi des mélanodermes).