PANIQUE CHEZ LES GAUCHISTES : UN EX-JOURNALISTE DE FRANCE INFO CONDAMNÉ POUR 700 VI*LS ! | GPTV
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Le 29 novembre à 12h30, Mike Borowski vous donne rendez-vous pour un direct sur l’actualité sur GPTV.
Un ancien journaliste de France Info, du Canard enchaîné, de Charlie Hebdo et d’Envoyé spécial, Jean-Philippe Desbordes, a été condamné pour avoir commis 700 viols accompagnés de torture,
des crimes d’une gravité exceptionnelle. Pourtant, cette affaire, qui
aurait dû bouleverser l’opinion publique et occuper la une des journaux,
a été largement passée sous silence par les grands médias.
Le 22 novembre, Jean-Philippe Desbordes, ancien journaliste, a écopé
d’une peine de vingt ans de réclusion criminelle pour des actes de viols
accompagnés de barbarie, en particulier sur les filles mineures de sa
compagne. Cette dernière a été reconnue coupable de complicité dans ces
faits et condamnée à cinq ans de prison.
Le silence des médias : une stratégie de protection ?
L’absence quasi totale de couverture médiatique autour de cette
condamnation choque autant qu’elle inquiète. Comment expliquer que des
médias, d’ordinaire si prompts à dénoncer les scandales dans d’autres
milieux, aient choisi cette fois de détourner le regard ? Ce silence
semble s’expliquer par une solidarité implicite au sein de la profession. En protégeant l’un des leurs, les journalistes cherchent peut-être à préserver une image collective déjà ternie par des accusations récurrentes de partialité, d’entre-soi et de connivence.
Mais ce choix d’éviter le sujet ne fait qu’aggraver la méfiance
croissante du public. Nombreux sont ceux qui voient dans cette
discrétion une nouvelle preuve de collusion entre
élites médiatiques et culturelles, renforçant l’idée d’un système
déconnecté des réalités qu’il prétend observer et analyser.
Quand l’élite médiatique échappe à tout contrôle
Ce scandale dépasse la seule question du journalisme. Elle renvoie à un problème plus vaste : celui des élites médiatiques et culturelles qui, à force d’impunité, deviennent le terrain fertile de comportements abusifs. Des affaires retentissantes comme celles de Gabriel Matzneff ou de Jeffrey Epstein ont montré comment certains membres des cercles influents se considèrent au-dessus des lois.
Ces comportements relèvent d’une véritable quête de toute-puissance,
où les abus sexuels deviennent un outil d’affirmation de leur
domination sur des victimes réduites au silence. Ce schéma de prédation,
loin d’être isolé, semble se répéter à travers différentes affaires
impliquant des figures publiques, alimentant l’idée d’une élite hors de
contrôle.
Un système organisé derrière les actes isolés ?
L’ampleur des crimes commis et leur répétition sur plusieurs années posent une question cruciale : l’accusé a-t-il agi seul ou faisait-il partie d’un réseau structuré ? Les précédents historiques, comme le réseau Dutroux ou l’affaire Epstein, ont démontré que ces crimes ne sont que rarement le fait d’un individu isolé.
La complaisance – voire la complicité – de certaines institutions
joue un rôle central en permettant à ces prédateurs d’opérer dans
l’ombre. En choisissant de taire ou de minimiser l’affaire, certains
journalistes participent indirectement à la protection de ces réseaux, consolidant ainsi une impunité structurelle profondément ancrée dans les cercles du pouvoir.
Une crise morale au cœur du journalisme français