Il y a une chose qui semble être mise de côté, tant elle est pourtant dérangeante...
C’est l’absence du principal concerné, par ce que représente cette « construction » et « ce qu’on y pratique ».
C’est à dire : C’est un patrimoine religieux, et pas n’importe
lequel, puisque c’est une Cathédrale ( excusez du peu ) et les
cérémonies qui y sont célébrées, sont les messes pour un Dieu
Catholique.
Et il se trouve, que la seule personne, capable de revendiquer, son
droit immobilier, et l’authenticité de son culte.... N’est pas venu !
Laissant la place, à un aréopage de gnouffis, déguisés, ou empreints
d’une solennité de façade, à peine ravalée, mais à leur profit !
C’est comme si on vous vendait une glace sans bâtonnet, sans cornet, sans petit pot...
Bref une fête de fin de chantier, ou, bien sûr les artisans, on été
remerciés, mais par une élite, si peu représentative, que cela en
devenait dégradant pour l’ensemble de l’oeuvre.
La seule faute commise, ( en dehors du flambage) c’est d’avoir
rouvert les portes de cette cathédrale, à des égos parasitaires, Les
mêmes qui ont déjà sévi sur le même plan du sacré .
Et même si je ne suis pas toujours raccord avec le souffleur de
bulle, j’apprécie son geste d’absence, qui as une portée, bien plus
forte, que tout ce qu’on nous vaporise à volo, pour oublier l’affront
subi .