@ETTORE
Bonjour et merci pour cette...diatribe !(Au sens actuel du mot, empreint d’une certaine véhémence).
TENIR ! TENIR !, Jusqu’au bout,......
/Effectivement. Unique mantra, désormais.
User autant de 1 er ministrables, que de Play Mobil, dans un calendrier de l’avant, TENIR, avec les yeux des-exorbités par cette colère qui le ronge, par ce camouflet en pleine page glacée, ce maudit Vendredi 13....
/On exténue.On épuise un personnel politique devenu fonction d’essorage, au mépris même de la fonction qui n’est plus celle de quelqu’un chargé de déterminer et conduire la politique du gouvernement. Il n’y a plus aucune imagination. ne restent que les propos lénifiants des discours généraux qui n’impriment plus et que plus personne n’écoute, le président en premier.
MAIS, ce qui le fait tenir, orteils d’orgueil crampés dans ses chaussures, usées par les aller retour, d’un pouvoir pas faire, qui n’en finit pas d’être une procession mortuaire, de visites, d’un appartement hémi-cyclique, témoin de toutes les lâchetés possibles.... C’est.....C’est.....
« »« »« Bon dieu, mais quelle se casse donc , cette Hyène Euro-païenne, que j’envahisse son terrier, que je puisse hululer ma rapacité, comme le hibou de mon tee shirt Bohémians clubing, montrer ma puissance à foutre le joug, à ces millions d’européens,insignifiants, mixés, ruinés, esclavagisés, dégenrés, réunis sous le talon de ma sandale, et que mon intelligence supérieure, ma alloué, afin de grandir encore et encore, sur un nombre incomptabilisable d’emmerdés, de toutes natures, de tous bords, de tous horizons..... »« »« ».
« »« »Rahhhhh, Et toi, le Bayou, toi, je te réserve une fin.....Hmmmmm« »« »
/ Bien vu ! On imagine une sorte de Hamlet ruminant fureur et colère, errant entre bureaux, couloirs et salons, par trop frustré de n’avoir déjà pu accéder à son rêve ultime de devenir Président de l’Union Européenne en ayant abandonné la France, devenue sujet sans intérêt, à un succédané proconsulaire (ce que le choix de M. Barnier a laissé entrevoir jusqu’à cette maudite censure qui n’a pu être évitée).
Laissons monter la mayonnaise jusqu’à ce qu’elle devienne acide et immangeable. Laissons monter le soufflé jusqu’à ce qu’il crève et s’effondre au fond du moule.
Laissons se succéder laquais et courtisans déjà en train de glisser vers le dépotoir politique.
Relisons cet extrait de Mauvais sang, tiré de l’extraordinaire Saison en Enfer (tout est à lire et relire !)https://www.atramenta.net/lire/oeuvre28232-chapitre-3.html
Bien à vous,
Renaud Bouchard
"Assez ! Voici la punition. – En marche !
Ah ! les poumons brûlent, les tempes grondent ! la nuit roule dans mes yeux, par ce soleil ! le cœur… les membres…
Où va-t-on ? au combat ? Je suis faible ! les autres avancent. Les outils, les armes… le temps !…
Feu ! feu sur moi ! Là ! ou je me rends. – Lâches ! – Je me tue ! Je me jette aux pieds des chevaux !
Ah !… – Je m’y habituerai.
Ce serait la vie française, le sentier de l’honneur !