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Commentaire de SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs

sur Justice : Darmanin aura-t-il les moyens de ses ambitions ministérielles ?


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C’est dans le pays qui a vu naître le célèbre foie gras de canard que se déroule actuellement une expérience sans précédent : la France, pays du bon goût, a décidé d’être la seule nation au monde à introduire une vaccination obligatoire contre la grippe aviaire H5N1 pour les élevages de canards de plus de 250 têtes.

Depuis l’automne 2023, pas moins de 61 millions de canards sont traités chaque année avec deux vaccins différents : un vaccin conventionnel sous-unitaire de Boehringer et - écoutez bien - un vaccin à ARNm auto-amplificateur de CEVA. Ce dernier arrive à un moment où le débat sur les vaccins à ARNm chez l’homme est loin d’être clos.

, chercheuse de renom, vient de vendre la mèche. Dans sa dernière publication, elle dresse un tableau inquiétant de cette campagne de vaccination de masse. Le plus curieux : alors que les grandes exploitations sont obligées de se faire vacciner, les petites exploitations de moins de 250 canards sont tout simplement interdites de vaccination. Une schizophrénie de la politique agricole par excellence.

L’utilisation du vaccin ARNm de CEVA est particulièrement explosive. Encapsulé dans des nanoparticules de fer et mélangé à du squalène, il nécessite un stockage complexe. Mais où sont les études sur la distribution dans le corps ? Où sont les études sur les éventuels résidus dans la viande de canard ? Absence de réponse sur toute la ligne. C’est ce que critique également le Dr Peter McCullough de manière massive.

La réalité rattrape déjà les plans ambitieux. Fin 2024, des foyers ont été signalés dans des élevages vaccinés. Les canards vaccinés excrètent allègrement le virus jusqu’à 14 jours, une aubaine pour les mutations. Cela rappelle fatalement les expériences faites en Chine, où les vaccinations ont déjà conduit à l’émergence de souches virales plus résistantes. Le ministère français de l’Agriculture réagit en introduisant - on s’en doute - une troisième dose de vaccin pour les canards Mulard. Notez bien que l’autorisation temporaire ne prévoit que deux doses. Un numéro d’équilibriste juridique qui place les vétérinaires et les producteurs dans une situation précaire.

Particulièrement piquant : l’ARNm emballé dans des nanoparticules lipidiques pourrait théoriquement trouver le chemin de nos assiettes. Si la viande de canard n’est pas suffisamment cuite, les consommateurs risquent d’être involontairement « vaccinés ». Des études à ce sujet ? Il n’y en a pas. La communauté internationale réagit déjà : les volailles vaccinées ne peuvent pas être exportées. Un coup dur pour les producteurs de canards français qui produisent traditionnellement aussi pour l’exportation.

Un conseil simple : n’en mangez plus...


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