« Juste une question : PINOCHET ET SES SBIRES, N’ONT-ILS PAS TORTURE, VIOLE, DEPORTE, ASSASSINE... DES MILLIERS D’OPPOSANTS [NON MARXISTES, CENTRISTES, DE DROITE, QUI NE RECLAMAIENT QE LA DEMOCRATIE], SANS COMPTER LES MILLIERS DE PARTISANS D’ALLENDE ? »
N’importe quoi ! On parle de trois mille victimes*, morts et disparus, pour tout potage et, au moment du Golpe, en septembre, Allende prétendait gouverner, depuis six mois, avec l’appui de 41 % du corps électoral.
D’où son recours constant aux décrets d’insistance, qui lui permettaient de passer outre les décisions des chambres ! En juillet, Allende** le modéré déclare : « »Si la révolution ne peut passer en souplesse, elle passera en force". Il y aurait aussi beaucoup à dire du terrorisme meurtrier des milices, dont le MIR qui, sauf erreur de ma part, était dirigé par un proche parent du défunt...
En outre, puisque tout le monde a été persécuté, comment peut-on expliquer que, lors du référendum de 1988, 46 % des Chiliens se soient prononcés en sa faveur. Sur quoi, il s’est démocratiquement retiré de la politique.
Merci, mon général...
On n’est pas au Café du Commerce où grandes gueules et beaux parleurs font ce qu’ils veulent, face à un public d’ignorants incapables de les contrer !
* A l’époque, c’était le score trimestriel du Vietcong !
** Pour en savoir plus sur cette vieille canaille, béatifiée par les zinzintellectuels :
http://www.liberte-cherie.com/a819-
Allende_etait-il_le_petit_saint_que_les_communistes
_en_ont_fait_.html