Mare de l’amalgame geo (IP:xxx.x50.70.133) le 1er juin 2006 à 12H16
>Je suis tout à fait d’accord que ce n’est pas le sujet débattu ici.
Le sionisme est un sujet à risque, un champ de mine ou au mieux un rideau de fumée qui enveloppe les rapports entre les différends « Peuples » Israéliens et entre Israéliens et Palestiniens.
Dans ce cas, ou l’on s’abstient de vouloir traverser ce champ ou percer ce brouillard et ne pas se lancer dans une explication quoi qu’elle soit, juste ou tronquée et édulcorée, puisque ce n’est pas le sujet débattu.
(« ... Ensuite, la façon de faire de la politique autour de ça, c’est une autre histoire, on peut ouvrir un forum pour en parler mais il ne faut pas tout mélanger... »)
> La bibliographie sur le sionisme est énorme et chacun peut y puiser, de lui-même, ce qui l’intéresse ou ce qui l’arrange.
Ou, alors, on s’y aventure et on donne une explication, même hyper résumée, de ce qu’est le sionisme, sa vraie naissance historique... et sa mutation au fil du temps, Avant et après Balfour (d’où...les 2000 ans..., le Mont Sion, L’AlAqsa... et tout ce mélange subtile) pour éviter tout « amalgame », dans un sens comme dans un autre.
Parler, par exemple, de l’Haskala (XIX e), le sionisme « pratique » de Léon Pinsker (1882), celui « politique » de Théodor Herzl (1897), celui « spirituel » d’Asher Ginsberg-Adam Haam (1904), celui « marxiste de Ber Borskhor ou Nahaman Syrkin (1905) sans oublier le « culturel » et jusqu’au Mizrahi de 1920 pour arriver au sionisme de « synthèse » et du paradigme du sionisme qui s’en suit...
« Je me permet de citer Albert Camus : « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » »
> Tout à fait d’accord aussi, appelons donc un chat, un chat !
Mon dernier post sur ce sujet.
Bien à vous.