Bien malaisée serait la tâche d’atrophier en une quelconque qualification d’essence purement souverainiste teintée de l’habituelle béchamel pseudo poujadiste issue des limbes asthéniques de la Vème catastrophe française, un projet par essence évolutif et dépourvu de tout précédent historique.
Un casse-tête indéniable pour juristes imbibés de droit national et obsédés de névrose qualificative bien compréhensible, qui n’a comme seul corrélat que de démontrer la justesse des thèses lacaniennes relatives à la chaine de signifiants.
Quant aux rodomontades et autres péroraisons politiciennes toujours d’essence nationale, les responsables européens auront certes le mérite d’appliquer un principe de précaution peut être édulcoré et mal perçu, je n’en disconviens pas, mais dont les principaux acteurs politiques nationaux feraient toutefois bien de s’inspirer afin de tenter de recouvrer une crédibilité bien défaillante !
De grâce, cessons de faire écho aux perversions narcissiques d’une certaine classe politique française en quasi déliquescence qui, non contente d’occulter les réalités européennes pourtant incontournables, prend tant de plaisir à s’adonner à sa mégalomanie partisane.