« Le capitalisme sait très bien gèrer les biens immatériels. Comme les abstractions des chiffres... »
C’est bien pourquoi, il ne faut reprendre à zéro la notion de « propriété intellectuelle » car cette notion qui a été inventée à une époque ou pour qu’il y ait « musique » il fallait un « musicien ».
Cette notion a bien passé le cap de moyen de production de masse quand sont apparut les disques et les cassettes vidéo.
Mais aujourd’hui Chacun peut, pour une somme relativement modique, avoir chez lui un studio d’enregistrement doublé de matériel de reproduction, et de diffusion.
La notion de « propriété intellectuelle » doit être revue, car S’il est vrai que l’artiste apporte quelque chose au consommateur, les distributeurs (majors) n’apportent plus rien. Ce qu’ils font avec leurs usine, et leurs camion, je peut le faire avec mon internet et mon graveur...
C’est a eux de se remettre en cause, comme s’est remis en cause le « pony express » à l’arrivée du « télégraphe ». Ils apparaissent désormais comme des profiteurs du talent des artiste, des profiteurs de leur noyautage des circuits marketing,... brefs, des inutiles qui profitent d’une situation dominante.
ça ne pourra pas durer, les majors pourrons aboyer, la caravane du téléchargement passera.
Et la notion de « proprité intellectuelle » n’est pas a revoir qu’en matière artistique. Les brevets sur le « vivants » que prennent Monsanto et autres, sont véritablement à la limite d’outrepasser la déclaration universelles des droits de l’homme. En asservissant les producteurs de NOURRITURE à des contrats commerciaux léonins, ils asservissent toute la chaine alimentaire qui dépends de cette production, c’est à dire... qu’au final... ILS NOUS ASSERVISSENT !!! NOUS, LES HUMAINS !!!