bonjour monsieur robert,
je réagi en 3 partie, agoravox, la censure, et vous
aggoravox : certe on peut y réagir librement du moins jusqu’a ce que son post soi effacé, certe c’est peu polémiste au sens constructif du terme, plutôt un lieu de défoulement via quantité de post qui sont plus proche de la réaction teinté parfois de propagande ou partie pris que de la réflexion, et je fais partie des réactifs.
mais pour ma part, c’est aussi un endroit ou on ma refuser 2 fois un article, certe mal écrit, certe pas assez argumenté, empli de fote d’ortograf, et j’en passe, sur la proximité des bébés avec la fumée de cannabis, réalité de santé public citoyenne qui comme d’autre problèmes réels passent ici ou ailleurs aprés de nombreux sujets qui ne servent que ceux qui on eut la chance d’apprendre a lire et écrire, pas ceux qui en sont privé par le THC.
Donc la censation de censure, ici et ailleurs, croyez bien qu’on la trouve fréquemment lorsqu’on traite un problème qui dérange la bonne conscience que chacun aime avoir pour s’endormir tranquille.
S’ébaubir de compassion pour l’autre bout du monde en espérant que ça misère y reste, c’est une chose, s’intéresser au malheurs a coté de chez soi, dans le regard rougi d’un bébé, non, c’est sur, il vaut mieux censurer.
quand a vous, monsieur robert, depuis ma lecture de la boite noire, je suis votre combat avec attention, et je suis dégouté d’apprendre que l’on a retirer votre dernier livre de la vente, sans même une réaction anti censure dans un pays qui prétend a la liberté d’expression.
j’aimerai beaucoup que les simples citoyens comme moi puissent collectivement porter plainte pour atteinte a leur droit d’être informer, parce que si ce genre de procédure était concrétement réalisable, accessible et dissuassive,
nous n’en serions pas réduit a vous soutenir par des paroles sincère, mais agir. Puisque c’est un usage abusif de la loi qui est a votre encontre et sert la censure, il est juste de considérer que votre droit a informer est bafoué, et qu’il doit être défendu.
J’imagine bien ce qu’une entreprise condamnée pour atteinte a la liberté d’informer peut perdre, en terme d’amende, mais aussi en terme d’image et de confiance,
et il est fort dommageable que nos politiques ne soient en ce domaine comme d’en d’autres, pas en phase avec la réalité moderne, et si peu apte a défendre un compatriote malmené par une société luxembourgeoise qui au nom de ses droits ne devrais pas avoir pour autant celui d’instrumentalisé la justice citoyenne contre un homme.
Les dépressions et les ruines d’honnète homme créer a partir d’un harcèlement juridique existent, et il n’est pas juste de ne pas protéger les citoyens contre ces dérives aux conséquence humaines parfois destructrices.
Je laisse a chacun imaginer où est la liberté lorsqu’une entreprise peut si ça l’amuse, vous mettre 15 procès sur le dos, même en sachant qu’elle va les perdre, juste pour vous ruiner et vous pourir la vie,
vous me direz elles le font pas, et bien si, dés que vous osez les critiquer ouvertement avec des arguments probants, alors surtout vous êtes libre, mais de vous taire et de consommer...
Il devrai exister une limite au nombre de fois ou une entrepise peut saisir la loi a l’encontre d’un même citoyen sur plusieurs années, surtout si ce dernier est reconnu comme innocent, et j’invite tout législateur conscient a y réflechir,
parce que si la justice ne protège plus le citoyen et sa nature fragile en tant qu’être humain, mais sert et privilégie celui des entreprises, a outrance et au détriment de l’intérêt supérieur du peuple souverain,
qui est aussi de vivre informé pour mieux utiliser sa liberté et de conscience et de décision,
elle n’en deviens plus rien d’autre que le bras armée du capitalisme sauvage derrière une façade de démocratie, ou sont indépendance n’est que le cache misère de son aveuglement et de sa nocivité soumise.
amicalement, barbouse,