Les éditeurs sont depuis toujours les pires voleurs ou au choix des (aigrefins, bandits, barboteurs, bonneteurs, brigands, briseurs, cambrioleurs, canailles, carambouilleurs, casseurs, chapardeurs,chevaliers d’industrie, chouraveurs, clephtes, cleptomanes,concussionnaires, coquins, corsaires, coupe-jarrets, coupeurs de bourses, crapules, déprédataires, dérobeurs, détrousseurs, dévaliseurs, escamoteurs, escarpes, escogriffes, escrocs, filous, flibustiers, forbans,fripons, fripouilles, gangsters, griveleurs, kidnappeurs, larrons, laveurs de chèques, leveurs, maître chanteurs, malandrins, malfaiteurs,marauds, maraudeurs, montes en l’air, pickpockets, pillards, pipeurs, piqueurs, pirates, plagiaires, rapaces, rapineurs,ravisseurs, requins,resquilleurs,scélérats,spoliateurs,tire-laines,tricheurs, tripoteurs, truands, vauriens, vide-goussets)...Et j’en passe !...
Et ce n’est pas nouveaux, déjà au 19ème siècle l’éditeur de Schubert l’a laissé mourir dans la misère sans jamais lui verser un centime sur les ventes de ses partitions éditées de sa musique. Pareil pour L V Beethoven et beaucoup d’autres moins classiques. Ces salauds veulent nous faire croire que la multiplication des taxes sur les supports vierges sont là pour défendre l’art et les artistes. Il n’y a que DW pour croire de telles conneries (la contemplation permanente de son nombril + sa sénilité troublent son jugement).La Sacem et autres Sacd Scam etc, spécialistes de la spoliation d’artistes ne sont pas en reste et peuvent être classés dans le même panier à crabes.
On en a plein le dos de cette transformation du monde en supermarché ou les mafias officielles tiennent le haut du pavé en réduisant l’humanité en masse de consommateurs décérébrés donc dociles. Faut-il en arriver à des méthodes peu pacifiques pour inverser cette tendance ? Peut on accepter encore longtemps d’être pris pour des benêts de gogos ?...