La corrélation s’appuie sur une expérience de parent d’élève depuis 10 ans et en particulier au collège. Les femmes ont souvent beaucoup de mal à se faire respecter.
J’ai dû intervenir en février auprès d’un prof principal (histoire) pour qu’il aille épauler une de ses collègues prof d’anglais, qui commençait systématiquement son cours dans le tumulte, debout face à la classe, attendant que le calme vienne. Au bout de 20 mn, le calme n’était pas arrivé et mon fils me l’a décrite les larmes aux yeux face à des élèves qui s’accommodent très bien du tumulte. La prof en question, quand je suis allée la voir, m’a indiqué n’avoir aucun problème de discipline... Le prof d’histoire a débarqué à l’improviste sous un prétexte futile et a constaté mes dires. Et il a demandé à la prof de lui communiquer les noms des 4 plus turbulents pour sanctions. Depuis le calme se maintient ...
Le manque de discipline dans les classes de profs femme fait malheureusement l’unanimité dans notre fédération locale de parents d’élève. Et c’est pas être misogyne de constater ça.
Le phénomène est amplifié par le fait que nous voyons aujourd’hui arriver de nombreuses jeunes profs, qui ont disons 24 ans et que parfois, lors des premiers conseils de classe de l’année, on confondrait presque avec des élèves de 3 ième. Et je me dis que devant des gaillards de 15 ou 16 ans elle ne doit pas en mener bien large. Et je ne parle pas des matières disons secondaires (musique, arts plastiques, italien) où les problèmes sont quasi permanents.
On peut être une femme, prof, contester cette réalité et en appeler à Margaret Thatcher pour se prouver qu’on de l’autorité. Mais ça n’en reste pas moins une réalité : l’éducation nationale est trop féminisée.