@ L’auteur,
a) J’ai cru comprendre que vous comptez, ici, plus d’appuis clairement déclarés - auxquels j’appartient - que parmi les journalistes encartés, même en valeur relative. Si oui, à lui seul, ce fait ne tendrait-il pas à démontrer que pour la plupart de ces « pros de l’info », la survie médiatique, dépendante de l’autocensure, demeure la principale préoccupation ?
b) Vous dites que nous manquons d’esprit polémique, alors qu’à l’inverse, d’aucuns soulignent les « dérapages polémiques inutiles et répétitifs » du journalisme citoyen comme autant de signes tangibles de son non professionnalisme et de son manque d’encadrement éditorial clair. Cette modération du propos des rédacteurs ne serait-elle pas plutôt une marque de maturation du « 5ieme pouvoir » ?
c) D’accord avec Minijack, (évoquant la forme) : Continuez d’écrire ce que vous avez à dire, ainsi le fondement de votre pensée souffrira moins...
Auteur également, je me considère plus témoin-acteur que journaliste et plus contre-pouvoir que pouvoir. Je crois que c’est la force de notre « mouvement » qui, rappelons-le, est en chantier.
Vive les Denis Robert !
Aixet...