Mazu, c’est le genre de francophones comme toi qui fait que les flamingants rabiques peuvent continuer à subsister et à emmerder leur monde. Je suis flamand francophone : mes parents et grands parents (et leurs parents avant eux) parlaient français à la maison. Moi même, j’éduque mes enfants en français et j’espère que mes petits enfants, quand il y en aura, seront eux aussi éduqués en français. MAIS : j’ai été à l’école en néerlandais et mes enfants également. Mes lectures sont indifféremment françaises et néerlandaises. A l’instar de la plupart des francophones de Flandre, je puis dire que je suis intégré et que les problèmes linguistiques des années 1960 sont, à Anvers, largement révolus. PAR CONTRE, en périphérie bruxelloise, des francophones vont s’établir en Flandre en refusant d’apprendre la langue et se comportent en impérialistes. N’est-il pas normal, dès lors, qu’il y ait une réaction des autochtones ? C’est vous, les francophones de la périphérie qui, avec votre arrogance, nous empêchent, nous les francophones de Flandre, de devenir une minorité linguistique reconnue et acceptée par les autorités flamandes. Alors, si vous voulez déménager, faites le. Plus vite le problème de la périphérie bruxelloise sera terminé, plus vite les politiciens flamingants, réactionnaires et crispés, auront l’herbe coupée sous les pieds. Et plus vite la population francophone de Flandre (grosso modo 5% de la population dans les villes malgré tout)pourra avoir une vie culturelle et sociale plus harmonieuse.