Non seulement c’est vrai dans les faits, mais il s’agit non pas de la noblesse d’épée du Moyen-Age et qu’on aime à critiquer mais qui est finalement celle qui prouve son statut, mais de la noblesse des privilèges de Louis XV (et et Lous XVI), qui se bat pour obtenir un pré carré de privilèges sur le commerce, l’industrie et tout ce qui a encie de bouger.
Cette forme de restauration s’est très sournoisement glissée depuis la Libération dans nos institutions par le truchement des avantages à la fonction publique dans son ensemble.
Les chefs sont bien sûr les plus avantagés mais ça va jusqu’au plus inférieurs des subalternes, qui sont de facto intégrés au système et affectés du rôle de vigiles au maintient de cette caste de fainéants, exposant leurs avantages en paresse mais surtout pourvus de privilèges abscons en nature et monnaie trébuchante non déclarés au reste de la population intrinsèquement laborieuse qui est condamnée à les entretenir.
La France comme l’Union Soviétique avec leurs KGB et magasins spéciaux pour memebres du parti sont les deux seuls modèles où l’administration est le bénéficiaire (mais non l’auteur) du pouvoir économique du pays.
C’est un peu comme si vous courriez et gagniez un 100m au jeux Olympiques et que le président de la Fédération de votre pays, soit le seul qui monte sur le podium et reçoive la médaille puis serait le seul bénéficiaire de touts les publicités qui utiliseront votre image de marque.
Jusqu’à quand les Français vont-ils trouver ça normal ?
Parce que le problème est là !