Il semblait évident, depuis le départ, que jamais G. Bush n’attaquerait l’Iran. Seuls des paranoïaques connaissant mal les américains propageaient cette rumeur : en terme de coût c’était impossible car l’économie intérieure passe toujours avant les guerres extérieures. Or l’Irak avait déjà été un gouffre.
Bush n’est pas seul. Une armada de conseillers l’entourent et jouent d’influence, soutenus par des groupes de pression divers qui forment eux aussi leurs alliances.
Vous dites que ce sont les soutiens dans la région qui manquent, mais ça n’est pas un problème pour l’amérique car les soutiens elle peut les acheter. Tout repose sur des contrats financiers. Mais il faut de l’argent pour se les payer. Le problème vient donc plutôt de la logique économique, de l’opposition des américains eux-mêmes comme on l’a vu aux dernières élections, or vous ne l’évoquez même pas !
Votre article est partial, il sent l’anti américanisme primaire. Si vous acceptez qu’en France ou en Iran il existe des courants politiques, ça semble vous échapper pour les USA. Pourquoi ? Ce sont des clones ? On dirait un mec complexé, qui enviant le gros colt du cow-boy, cherche à l’accuser de lâcheté quand il n’y a que de la raison.