M. Adolphos,
N’avez-vous pas de raisonnement propre que vous ayiez toujours à vous en référer aux textes ? Il semble que votre tête soit plus pleine que bien faite, hélas ! Relisez donc Montaigne. Vous citez, vous citez ! Certes, en cherchant à éclairer le débat, j’ai moi même commis l’erreur de créer des zones d’ombre. Le verbe, hélas, n’a pas une portée unique car il se heurte parfois à l’entendement de l’autre... De votre côté, vous nous éclairez trop avec des citations (et même vous me citez, moi !) puis vous finissez par nous éblouir. On ne voit plus rien, on ne comprend plus rien, bref, on n’avance pas beaucoup. De mon côté j’ai voulu aborder un sujet que je ne supposais pas aussi brulant avec un oeil neuf en faisant mon propre raisonnement. Je comprends fort bien que vous ne partagiez pas mon point de vue, je dirais même que c’est rassurant. Ce que je comprends moins, c’est qu’au regard des connaissances que vous semblez avoir vous ne soyez pas plus tolérant. J’ai pourtant la conviction qu’avec un peu plus de finesse vous contribueriez largement à faire avancer le débat de façon plus constructive. Je suis sincèrement désolé que vous n’en ayiez pas conscience. Bien cordialement.