Moi , je suis 20 fois mieux renseigné que les lecteurs de « Minute ».
C’est normal, je lis « 20 minutes »...
Ceci dit sur certaine rumeurs de separation, j’ai une autre theorie.
Le chef d’un parti A, parti très engagé dans le referendum du TCE a été très moderement impliqué dans la campagne tant que le OUI etait devant, dans les sondages.
Il a laissé le president actuel, et l’ancien, devenu redacteur de l’infame traité le defendre.
Il n’a commencé a s’investir que lorsque le OUI serait remonté, juste après l’intervention d’un mort vivant ressussité : Jospin.
« Je veux etre de la victoire » se dit le poltron.
Helas, ce oui, tel celui d’une femme capricieuse est vite devenu un Oui mais, puis un Non, j’ai une migraine epouvantable.
Le poltron, miné par son engagement qui en faisait un perdant, 2 ans avant la presidentielle, avait imprudemment reservé un passage a la Tv, 1 semaine avant le scrutin.
Il risquait donc d’INCARNER le camps des perdants, le camps du OUI refusé par le peuple ingrat.
Il nous faut un pretexte pour se retirer avant cette foutue emission dit le conseiller en com.
Lui : Je passerais pour se que je suis : un couard repondit le bravache habitué a montrer son Karcher, caché derriere 200 policiers.
La journaliste : Voyons dit sa copine journaliste, que pourrions nous inventer pour justifier ce retrait qui ne te fasse pas passer pour un bande mou ?
Elle : J’y suis, le coup du mari cocu.
La vie privée des politiques est un tabou, chez nous autres français.
La journaliste : Nous nous sommes tus pour la petite mazarine, les maitresses nommées premier ministre, les innombrables conquetes des uns et des autres.
Le conseiller : Une rupture ce serait terriblement tendance, très loft story, le bon peuple va en rafoler.
Le conseiller : Moi je ferai l’amant de la dame dit le conseiller com.
La journaliste : Je ferai ta maitresse dit la journaliste...
Lui : C’est ce ce pauvre Borloo, qui va devoir y aller ricane le hero. Un Rival de moins.
Elle : On se reconcilie quand ?
Lui : Un an au moins avant la presidentielle, sinon, ce ne sera pas credible.
Bien entendu ces dialogues sont completement imaginés.
Dans notre pays, personne ne se comporterait de cette façon s’il etait un responsable politique assumant son role de leader de son parti.
Car vous le savez, il n’y a aucun chef de parti qui a refusé de defendre le traité qu’il voulait nous imposé, n’est ce pas ?