« Si les non fumeurs étaient un peu plus indulgents et arrêtaient de se lamenter sur nos vices » etc
Je suis non fumeuse et pourtant je considère que chaque individu majeur est libre de fumer là où il ne gêne pas les autres ; j’autorise même que l’on fume dans mon salon et dans mes dîners, si ! si ! Et pourtant, la fumée me gêne moi aussi.
Par pitié, pas d’amalgame : tous les non fumeurs ne sont pas des intégristes de l’anti-tabagisme !
Je considère que les fumeurs (pour les mineurs, c’est aux parents de démontrer que fumer est dangereux, sans pour autant être un « vice »...) sont suffisamment bien informés sur les dangers du tabac pour ne pas avoir à le leur rappeler.
Ils cotisent à la sécu et sont libres de se rendre malades après tout. A partir du moment où des adultes fument chez eux, dans la rue, dans des salles prévues à cet effet ou avec l’autorisation de ceux qui se trouvent dans leur fumée... je m’en moque.
En revanche, que certaines victimes de cancers propres au fumeur osent attaquer les fabricants de tabac parce qu’ils les accusent de les avoir rendu accros, désolée, je ne marche pas. On sait depuis les années 70 que le tabac provoque des maladies graves. Alors, à chacun, sa prise de risque et à chacun, ses responsabilités.
PS : pour les « poliquement corrects » ou les professionnels de la culpabilisation permanente (les mêmes j’imagine) qui sévissent en masse dans les blogs... je précise que les fabricants peuvent être pénalisés autrement qu’avec des procès que leur intenteraient des consommateurs malades. Il existe un tas de possibilités !