A lire certaines contributions suite à mon article, je suis désolé, navré. Quelqu’uns y voient l’occasion de se répandre, de façon plus ou moins explicite, en digression.
Loin de moi d’avoir des propos de nature glissante. Si certains se sentent heurtés, qu’il considèrent bien que mon approche est relative à la médiation et à ce qui fait et permet la médiation seulement. C’est de ce point de vue que je me positionne.
Les questions qui sont au centre sont la compétence de médiateur, l’aptitude à remplir les fonctions de médiateur, et le choix de nommer un « médiateur » « médiateur national ».
La terminologie n’est pas neutre.
A-t-elle été bien réfléchie ? Force est d’y croire, sinon nous n’allons pas sortir d’un débat sur la volonté de faire passer un message clair.
Il s’agit aujourd’hui de dire, au travers d’un « médiateur national », ceux qui peuvent être considérés comme appartenant à la Nation française et ceux qui ne le seront pas. A vie ? Probablement...
Dès lors, la chose ayant été vue par un « médiateur » au nom de la Nation, c’est à dire au nom du peuple français, celui qui n’aura pas été considéré comme appartenant à la Nation le pourra-t-il un jour, en dépit de son sentiment d’identité, de sa volonté d’appartenance ?
En effet, je m’interroge, tant sur ce choix de nommer un « médiateur national » - qui n’est évidemment pas sans faire penser à la recherche de souligner l’identité française et par corolaire de déborder sur le « nationalisme » - mais aussi sur le fait que des institutions déjà en place soient pour le moins enjambées par cette mission.
A savoir que le Médiateur de la République est déjà l’ombudsman national... Une autre traduction possible de cet héritage suédois : « médiateur national ». Quelle est la compétence du Médiateur de la République ? Elle est de régler « les litiges entre citoyen et administration ou service public. »
Se pose alors la question de citoyenneté. Ne serait-ce pas un sujet qui devrait être soumis à la médiature de la République ? En effet, nous trouvons aussi sur le site du Médiateur de la République une réponse à ce sujet. Dans sa FAQ, à la question « Qui peut avoir recours à lui ? » Il répond : « Tous les particuliers, sans critère de nationalité (...) ». C’est-à-dire toute personne confronté à un problème avec une institution, une administration...
Enfin, c’est seulement en effectuant des recherches que j’ai découvert à la fois le « côté people » d’A. Klarsfeld et ses divers engagements. Que l’on partage ou non ses convictions, le propos n’est pas là. Le propos est de savoir si ce système de « médiateur national » est fondé et, cela de manière accessoire, de bien considérer dans quelles mains il est remis.
Quant à la façon dont certains font des interprétations de mon propos, ou le détournent, témoignent manifestement plus de leur positionnement qu’a contrario du mien, comme ils tendraient à le tordre.
Cordialement vôtre
10/04 12:41 - Laneche née Bougoufa amel fairouz
Adresse : Mme LANECHE née BOUGOUFA Amel Fairouz Cit2 250 Logt Bloc « B » n°32 (...)
30/12 11:29 - cadoret
Il est lamentable de s’attaquer à l’homme Klarsfeld- Donner lui plûtot votre avis (...)
23/09 11:19 - nicole
Bonjour Hakim, Oui justement ces applaudissements sont bien là le signe d’un ras le bol (...)
22/09 22:53 - nicole
Et vous, l’internaute sans pseudo, sans prénom... pourquoi voulez vous que l’on (...)
21/09 17:41 -
Demian a son fil de conversation. Daniel aussi a le sien ! ;-)
21/09 17:32 -
Hum Nicole, moi je suis un Bobo. Je suis POUR Arno Klarsfeld et personne ne parle de moi. (...)
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