J’ai connu Bertrand de Kermel en lisant son article sur la « TVA sociale » destinée à financer la sécurité sociale dans le mensuel « l’étoile Notre-Dame » de février 2006 ? revue faisant entre autre la propagande du pélerinage de Medjugorje.
Les enchères inversées sont généralement destinées à recruter des spécialistes du Tiers Monde qui votent avec leurs pieds, mais cela reste une pratique tout à fait marginale. Au lieu de s’en prendre aux enchères inversées ou de prôner la TVA sociale pour réglementer encore davantage les entreprises, pourquoi Bertrand de Kermel ne s’insurge-t-il pas contre les subventions sans aucune justification morale aux agriculteurs et aux producteurs de lait, subventions qui les transforment en parasite des entreprises faisant des bénéfices et qui ruinent l’agriculture du Tiers monde car il s’agit d’un dumping.
La seule justification à ce parasitisme réside dans le contrôle du Sénat par les 5% d’agriculteurs.
En prônant une réglementation de plus en plus autoritaire contre les entreprises et les travailleurs qui font vivre la socété au lieu de la parasiter, Bertrand de Kermel ne s’inscrit-il pas dans la grande lignée des ci-devants nobles privilégiés, dont l’avatar contemporain est constitué par les apparatchiks des différents syndicats de salariés, d’employeur, de producteurs de lait qui vivent au crochet des adhérents, des collectivités locales, des contribuables et des adhérents à la sécurité sociale dont le monopole, du reste, a été aboli récemment par une ordonnance de Jacques Chirac en matière d’assurance maladie ?