A l’approbateur de B. de K/ :
Je n’ai jamais suivi les cours de Milton Friedman, je n’ai rien lu de lui, je sais seulement que le gouvernement de Pinochet se réclamait de ses théories qui me sont inconnues.
A B. de K/ :
Vous prenez comme témoignage des déclarations d’élus, or un élu doit d’abord se faire réélire et il n’est ni libéral, ni étatiste : il cherche à représenter l’opinion majoritaire de ses électeurs.
Je prends connaissance de votre description des « forces vives » qui s’exilent mais se font soigner en France et envoient leurs enfants à Henri IV. Là, vous retardez vraiment d’un métro :
Si je dois me faire hospitaliser, ce n’est certainement dans un hôpital public à Paris que je le ferai. J’essayerai d’aller ailleurs si j’en ai les moyens.
Les « forces vives » et la gauche caviar retirent leurs enfants d’ Henri IV, où les cours ne sont pas en anglais, et préfèrent les envoyer à Cambridge ou aux Etats-Unis.
Conclusion : on commence à être un peu loin du problème des enchères inversées, problème sensé ne plus exister en France puisque le gouvernement les a interdites. Mais cela reste une idée intéressante : il suffit de les faire depuis l’étranger. A votre connaissance, est-ce que la chaîne d’épiceries Aldi (Allemagne) procède ainsi ?