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Commentaire de Arthem

sur Stupeur et tremblements


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Arthem (---.---.98.243) 11 juillet 2006 12:35

« 14 » (cartons rouges) :

C’est ce qui a marqué l’auteur cet article. Rien sur ces titres (champion du monde, vice-champion du monde, champion d’europe, Artiste du ballon...).

« rien ne peut justifier ce geste, surtout pas lorsqu’on porte avec soi autant de valeurs dans une société en mal de repères. » :

Je ne vois pas en quoi un match de foot peut servir de repère dans une société et si cette même société en a pas. De plus le « rien ne peut justifier ce geste » est hors de propos car vous ne savez pas ce qui la provoqué.

« Il ne s’agit pas de pardonner ou de ne pas pardonner à Zidane... car ceux à qui le joueur doit rendre des comptes, ce sont ses coéquipiers et le sélectionneur, pas à nous, même si une fois revêtu, le maillot de l’équipe de France exige un dépassement d’une tout autre dimension. » :

Manque plus que les violons et les chants tristes, le tableau sera complet. Le football n’existe que parce qu’il a un public et rien d’autre. Si quelqu’un doit pardonner ou ne pas pardonner son geste s’est bien son public. Moi, je lui pardonne, il a déjà tant donner.

« La punition n’en est que plus exemplaire, impitoyable et définitive » :

Oh OH OOOHHHHHHHH ! C’est qu’un match de foot.

« Bien plus qu’un trophée, le désastre Zidane, c’est celui qui revient de nulle part, se bat jusqu’au bout de lui-même, et qui, impuissant, voit la victoire promise lui échapper... N’est-ce pas, mon pauvre Lilian ? » :

Thuram a pleuré car il n’a pas gagné la coupe du monde, pas parce que Zidane a mis un coup de boule à Materazzi. Faut arrêter de mélanger les torchons et les serviettes.

Conclusion : Cet article est du grand n’importe quoi, bien écrit et bien posé. Il a la saveur particulière de l’exagération qui sied si bien aux « m’as-tu-vu ». A vite oublier.


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