Un fait m’intrique énormément : Pourquoi diable des diables de journalistes s’enquièrent-ils encore et toujours de ce que M. Raffarin pourrait avoir à dire.
Non, parce que nous, déjà quand il était premier ministre...
« The yes needs a no to win against the no » c’était lui. En 2005. Au sujet du referendum sur le traité établissant une constitution pour l’Europe.
Et je vous passe ses tirades dans la langue de Molière, je ne voudrais pas que la France ait honte.
On peut pas le laisser déblatérer auprès des aides à domicile, comme Balladur ?
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