Le plus important dans l’histoire, c’est quand même la reconnaissance par le monde du cinéma des tirailleurs africains et nord-africains (en attendant celle de l’Etat), et non pas les frasques récurrentes de ce mauvais acteur fou, non ? C’est ça qui me tue, qu’un crétin pareil puisse éclipser cet événement qu’était la remise du prix, qui était quand même autrement émouvant (Bouajila, Zem et Djamel entonnant le chant des tirailleurs). Pourtant, personne ne semble l’avoir remarqué. Finalement, peut-être qu’il ne voulait tout simplement pas partager le trophée avec ses camarades...
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