En politique, piquer les idées les plus populaires de son adversaire, c’est le « marquer à la culotte ». Avec le charme et la nouveauté en prime, c’est plutôt efficace. C’est ainsi que Bill Clinton a ravi le pouvoir (et l’Amérique par la même occasion). Sur le fond, tant que rien de concret n’émerge, ni désignation comme candidate officielle (ou déclarartion de se présenter quoi qu’il en soit), ni projet défini, tous ces discours ne sont qu’occupation du terrain... médiatique. Si les journalistes faisaient plus d’analyse et un peu moins de people, on aurait sans doute un peu moins de populisme affiché. D’autant que, dans la réalité des urnes, les Français apparaissent avoir plus de bon sens que les medias ne leur prêtent : les paillettes ne les séduisent que s’il y a quelque chose derrière.
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